Il est cinq heures... collector
La chose est entendue : nous sommes dans une phase rétro chic 50's-70's.
Donc en cadeau, voici un collector : La pub de référence pour un produit déodorant qui est entrée dans notre "patrimoine culturel" (la pub, pas le produit...) :
"A vue de nez, il est cinq heures".
Je connaissais l'expression, mais je n'avais jamais vu l'original. Et bien c'est chose faite, grâce mes vieux journaux (tu vois, denis, ça peut servir au moins à ça...).
Dans un numéro de Modes et Travaux du tout début des années 70 : je découvre le joli monde de la vie de bureau.
Remarquez le chef de bureau, ou autre contremaître, qui porte un jeton à numéro au revers de sa veste. J'imagine que c'est son identifiant perso d'autorité (?).
L'employé subalterne qui provoque son expression de répulsion et plie le camp à 17H pétantes, c'est bien la jolie jeune femme blonde qui sent des aisselles... Vraiment poétique.
Au moins, sur ce point rien n'a changé. Car si la vie de bureau s'est démystifiée, de nos jours, dans les pubs ce sont toujours les femmes qui sont contispées, incontinentes, ballonnées ou transpirant sous les bras. Les hommes sont rarement mis en scène dans ces situations scabreuses, à moins que quelquechose m'ait échappé ?
2 commentaires:
moi je dis, il va falloir que ça change ! ;-) (comment ça, je crois encore au Père Noël ?)
léna -> en même temps, j'y ai re-réfléchi : la perte des cheveux, c'est bien LEUR bizness. Ouf, c'est déjà ça !
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